Drangoust était en pleine forme malgré les évènements des dernières années. Bien sur, même si elle était la plus vieille de tous les créatures de ce monde, elle en avait encore beaucoup à apprendre sur eux.
Juste avec sa fille, qui avait 30 ans aujourd'hui, elle en avait apprise beaucoup et en aurait encore surement plus à apprendre, si elle passerait plus de temps avec elle. Voilà, Elemiah avait grandit, la trentaine aillant succombé la vingtaine, mais pour un dragon elle restait un être très jeune, en plus que pour une fée aussi ce n'était pas très âgée.
La mère avait cependant toujours eut du mal à observer sa fille, non pas qu'elle ne l'aimait pas, au contraire, elle la chérissait du plus profond de son âme. C'est que lorsqu'elle la voyait, elle lui faisait tellement penser à cet amour qu'elle avait perdue avant même d'avoir pue le vivre pleinement. Cette fée qu'elle avait aimée des moindres fibres de son être, elle avait perdu sa chance avec lui et il était mort ... Tout cela était de sa faute à elle, elle qui avait laissée les hommes atteindre leur monde, y entrer. Ces êtres impures, imparfaits, n'avaient jamais eut leur place en ces terres. Ils ne faisait pas partit des créations dragoniques, ils étaient rien!
Sortant subitement de ses pensés, Drangoust qui était sous sa forme elfique à marché dans ces bois qu'elle connaissait par coeur, essuya une larme qui coulait sur sa joue. Elle avait sans doute gâchée sa vie avec les humains. Si elle aurait sue plus tôt... si si si... Mais on ne pouvait pas changer le passé.
Lentement sa main glissa sur son cou, ancienne blessure de guerre qui parfois lui faisait mal, même s'il ne restait aucune cicatrice grâce aux bon soin de l'un de ses compatriotes. Aucune cicatrice si ce n'est que depuis lors, sous sa forme elfique elle n'arrive plus à rien dire. Pourtant en forme dragonnique elle rugit encore si bien...
Épuisée de marché inutilement dans ces bois, Tamiska, comme l'appelle les elfes depuis toujours, s'assied dessus une grosse roche, non loin d'un petit sentier qui c'est formé au fil des ans par les vas et viens des gens qui traversent la forêt à pied ou en cheval.
Yodas, dans une forme de petit écureuil blanc, trônait fièrement dessus son épaule, sa petite corne doré évitant à tout prix de blesser sa maîtresse qui ne paraissait pas avoir plus d'une vingtaine d'années.
Soupirant fortement, toujours assise sur son rocher à côté du petit sentier, Tamiska essuya une autre larme qui coulait sur sa joue, son passer semblait la rattraper en force aujourd'hui.
Juste avec sa fille, qui avait 30 ans aujourd'hui, elle en avait apprise beaucoup et en aurait encore surement plus à apprendre, si elle passerait plus de temps avec elle. Voilà, Elemiah avait grandit, la trentaine aillant succombé la vingtaine, mais pour un dragon elle restait un être très jeune, en plus que pour une fée aussi ce n'était pas très âgée.
La mère avait cependant toujours eut du mal à observer sa fille, non pas qu'elle ne l'aimait pas, au contraire, elle la chérissait du plus profond de son âme. C'est que lorsqu'elle la voyait, elle lui faisait tellement penser à cet amour qu'elle avait perdue avant même d'avoir pue le vivre pleinement. Cette fée qu'elle avait aimée des moindres fibres de son être, elle avait perdu sa chance avec lui et il était mort ... Tout cela était de sa faute à elle, elle qui avait laissée les hommes atteindre leur monde, y entrer. Ces êtres impures, imparfaits, n'avaient jamais eut leur place en ces terres. Ils ne faisait pas partit des créations dragoniques, ils étaient rien!
Sortant subitement de ses pensés, Drangoust qui était sous sa forme elfique à marché dans ces bois qu'elle connaissait par coeur, essuya une larme qui coulait sur sa joue. Elle avait sans doute gâchée sa vie avec les humains. Si elle aurait sue plus tôt... si si si... Mais on ne pouvait pas changer le passé.
Lentement sa main glissa sur son cou, ancienne blessure de guerre qui parfois lui faisait mal, même s'il ne restait aucune cicatrice grâce aux bon soin de l'un de ses compatriotes. Aucune cicatrice si ce n'est que depuis lors, sous sa forme elfique elle n'arrive plus à rien dire. Pourtant en forme dragonnique elle rugit encore si bien...
Épuisée de marché inutilement dans ces bois, Tamiska, comme l'appelle les elfes depuis toujours, s'assied dessus une grosse roche, non loin d'un petit sentier qui c'est formé au fil des ans par les vas et viens des gens qui traversent la forêt à pied ou en cheval.
Yodas, dans une forme de petit écureuil blanc, trônait fièrement dessus son épaule, sa petite corne doré évitant à tout prix de blesser sa maîtresse qui ne paraissait pas avoir plus d'une vingtaine d'années.
Soupirant fortement, toujours assise sur son rocher à côté du petit sentier, Tamiska essuya une autre larme qui coulait sur sa joue, son passer semblait la rattraper en force aujourd'hui.