Je voyageais dans la forêt à travers monts et vallées, mon devoir étant de protéger la nature environnante. J'avais beau être enceinte et avoir le ventre qui s'arrondissait de jours en jours, mon travail ne s'arrêtait pas là! Oh que non! Rien n'était aussi facile. Vous voyez, plusieurs pensent que nous, les dryades, avons la vie facile, mais c'est loin d'être le cas. Tous les jours je fais, à pied, le tour de plus de cent milles arbres, vérifiant de manière plus ou moins minutieuse, la santé de chacun d'eux! Si par malheur je venait à en trouver un en mauvaise état ou en danger je me doit d'aller quérir une dryade de haut niveau qui devra se charger de cette arbre. d'ailleurs se genre de chose arrive en moyenne 20 fois par jours.
Aujourd'hui c'est plutôt tranquille comme journée. J'ai faite le tour d'environs soixante-quinze milles arbres et j'étais à peine en milieux d'après-midi. Jusqu'ici je n'avais eut que 12 arbres à signaler. Je ressentait en se moment une bonne douleur dans mes chevilles et une grande soif se formait en moi. J'avais besoin d'un peu de repos, de toute façon j'étais en moitié de journée. J’avançais peu à peu vers se lieux calme et paisible où on pouvait voir et entendre le mouvement de l'eau.
Mes deux mains reposaient doucement dessus mon ventre où le petit être en moi se développait. Je le sentait qui bougeait, elle avait hâte de sortir, j'en étais certaine. Mon regard c'était rabaissé, sans que je le contrôle, dessus mon ventre et un sourire se fit sur mon visage, j'avais hâte moi aussi qu'elle sorte, que je puisse enfin la tenir dans mes bras.
Arrivant près de la rivière je soupirais d'aise j'allais enfin me reposer! Je m'approchais de l'eau, j'étais nue pied comme toujours, tout doucement je m'assied sur une roche qui dépassait de l'eau et y glissa mes pieds endolories. Je soupirait à nouveau gardant mon regard fixe sur l'étendue bleu, les deux mains appuyées dessus mon ventre. Je rêvais à ce moment qui était dans un future pas si lointain du mien.
J'entendait des sons provenant de derrière moi, mais assez peu nerveuse je ne m'en était pas préoccupée. C'était probablement une biche qui venait pour se désaltérer. Rien de plus, alors à quoi bon se faire du mauvais sang.
Aujourd'hui c'est plutôt tranquille comme journée. J'ai faite le tour d'environs soixante-quinze milles arbres et j'étais à peine en milieux d'après-midi. Jusqu'ici je n'avais eut que 12 arbres à signaler. Je ressentait en se moment une bonne douleur dans mes chevilles et une grande soif se formait en moi. J'avais besoin d'un peu de repos, de toute façon j'étais en moitié de journée. J’avançais peu à peu vers se lieux calme et paisible où on pouvait voir et entendre le mouvement de l'eau.
Mes deux mains reposaient doucement dessus mon ventre où le petit être en moi se développait. Je le sentait qui bougeait, elle avait hâte de sortir, j'en étais certaine. Mon regard c'était rabaissé, sans que je le contrôle, dessus mon ventre et un sourire se fit sur mon visage, j'avais hâte moi aussi qu'elle sorte, que je puisse enfin la tenir dans mes bras.
Arrivant près de la rivière je soupirais d'aise j'allais enfin me reposer! Je m'approchais de l'eau, j'étais nue pied comme toujours, tout doucement je m'assied sur une roche qui dépassait de l'eau et y glissa mes pieds endolories. Je soupirait à nouveau gardant mon regard fixe sur l'étendue bleu, les deux mains appuyées dessus mon ventre. Je rêvais à ce moment qui était dans un future pas si lointain du mien.
J'entendait des sons provenant de derrière moi, mais assez peu nerveuse je ne m'en était pas préoccupée. C'était probablement une biche qui venait pour se désaltérer. Rien de plus, alors à quoi bon se faire du mauvais sang.